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Archives 2011-2012

Ecole et cinéma

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Cycle II : Les Contes de la mère poule

Film de Torabi Farkhondeh
Iran, 1992 à 2000, 46 mn, couleurs, sans paroles
> Sur le site « Transmettre le cinéma »
> Sur le site « Les Enfants de cinéma »
> Propositions pédagogiques des CPAV

C’est un programme de trois courts métrages destiné aux tout-petits. Ces récits animés avec des décors et des personnages taillés dans du tissus, découpés dans du papier, brodés avec de la laine et inspirés des traditions persanes les enchanteront par leur beauté plastique et leur univers magique, plein d’humour et de tendresse.
Par ailleurs, certaines histoires font références à des contes qu’ils connaissent.
La durée de chacun des courts-métrages (environ 15 mn) est adaptée au temps de concentration des plus jeunes : ils n’auront aucune difficulté à se passionner pour ces trois belles histoires d’animaux qui ont pour thème l’entraide et la générosité.

Cycle II & III : Le Chien jaune de Mongolie

Film de Daava Byambasuren
Allemagne-Mongolie, 2005, couleurs, 93 minutes
> Sur le site « Transmettre le cinéma »
> Sur le site « Les enfants de cinéma »
> Propositions pédagogiques des CPAV

Nansa, une fillette de six ans, est l'aînée d'une famille de nomades du Nord de la Mongolie.
Un jour, elle ramène chez elle un chien abandonné, mais son père ne souhaite pas le garder.
Nansa tente de le cacher, mais le jour où la famille déménage, elle doit abandonner le chien.
Ce n'est que lorsque son père découvrira que son dernier-né, un bébé de quelques mois, a été sauvé d'une attaque de vautours grâce au chien de Nansa, qu'il accueillera enfin l'animal au sein de la famille.

Cycle II : Mon voisin Totoro

Film de Hayao Miyasaki
Japon, 1988, dessin animé, couleurs, 1h26
> Sur le site « Transmettre le cinéma »
> Sur le site « Les enfants de cinéma »
> Propositions pédagogiques des CPAV

Pour se rapprocher de leur mère, en convalescence dans une maison de repos à la campagne, deux petites filles, Mei, quatre ans, et Satsuki, son aînée, s’installent avec leur père, sous le soleil de l’été, dans une maison en pleine nature au milieu des rizières. Le père part travailler la journée, et les fillettes découvrent un nouvel univers. Un soir sous la pluie, en attendant longuement leur père à un arrêt d’autobus perdu dans la nuit et au milieu des arbres, la grande sœur voit et communique avec un Totoro qui grogne gentiment, un être qu’elle pensait imaginaire parce que sa cadette l’avait découvert avant elle, endormi au fond d’un labyrinthe végétal, sous un camphrier géant…

Cycle III : Chantons sous la pluie

Film de Betty Comden et Adolph Green
Etats Unis, 1951, couleur
> Sur le site « Transmettre le cinéma »
> Sur le site « Les enfants de cinéma »
> Propositions pédagogiques des CPAV

« Chantons sous la pluie, entremêle harmonieusement comédie musicale et comédie burlesque, avec en toile de fond, une peinture ironique et drôle de la fin du cinéma muet. »
Soir de première à Hollywood : devant une foule en délire, Don Lockwood, accompagné de l’autre star du moment et de son ami le plus proche, raconte au micro l’histoire – enjolivée - de sa carrière, qu’il dit dominée par un seul objectif : rester digne ! Dans sa course pour échapper à ses fans, il atterrit dans la voiture d’une jeune comédienne qui le snobe. Pourtant, tous deux, sans le savoir, vont à la même soirée, chez le producteur R.F Simpson qui offre ce soir-là une démonstration de film parlant à ses invités blasés…

Cycle III : Jacquot de Nantes

Film d'Agnès Varda
France, 1990, Couleur et Noir et blanc, 1h58
> Sur le site « Transmettre le cinéma »
> Sur le site « Les enfants de cinéma »
> Propositions pédagogiques des CPAV

C’est une chronique des jeunes années du cinéaste Jacques Demy : été 1938, Jacquot, 8 ans est le fils d’un modeste garagiste de Nantes et d’une coiffeuse à domicile. Il joue avec son petit frère dans le garage du père mais adore aussi les spectacles de marionnettes et les opérettes que sa mère lui fait découvrir. La guerre éclate. Le père est mobilisé dans une usine d’armement des environs. Pendant les étés de guerre, les deux enfants vont à la campagne, chez un sabotier sur les rives de la Loire. Jacquot s’intéresse de plus en plus au cinéma, achète une caméra d’amateur et tourne avec ses copains un petit film : Les Aventures de Solange. Son père s’oppose à cette vocation de cinéaste et l’oblige à suivre des cours de mécanique dans un lycée technique.
Grâce au soutien de Christian Jacques venu présenter un film à Nantes, le père laissera son fils partir à Paris pour suivre les cours de l’école Louis Lumière.